Sécurité : ce que les rodéos du périph’ disent du recul de l’État
Chaque soir, des rodéos sauvages transforment le périphérique et certains quartiers en zones de non-droit. On pourrait croire que ça ne concerne pas le cœur de Paris, mais c’est faux : les habitants du 5e, du 6e et du 7e ressentent directement cette perte d’autorité.
Quand l’impunité devient la règle
Féminicides, harcèlement, squats, trafics, rodéos, OQTF jamais exécutées… La République recule sur son propre territoire. Les citoyens voient des délits répétés sans sanctions rapides. Résultat : un sentiment d’abandon et de danger permanent.
Ce que ça signifie pour nos arrondissements
À la limite du 5e et du 13e, des familles hésitent à sortir tard. Autour du Champ de Mars, les riverains subissent des nuisances et des trafics. C’est simple : quand l’État recule en périphérie, Paris encaisse le choc.
Ce qu’on propose pour changer les choses
- Tolérance zéro : violences faites aux femmes, squats, trafics, rodéos. Chaque infraction sanctionnée.
- Zéro remise de peine pour les pédophiles et les terroristes.
- 30 000 policiers et gendarmes de plus, équipés de caméras intelligentes et de brigades drones.
- Verdicts en 72h pour les délits flagrants, afin que la justice retrouve sa crédibilité.
- Immigration maîtrisée : régularisation pour ceux qui travaillent et cotisent, expulsion en 30 jours pour ceux qui refusent.
Pourquoi ça nous concerne directement
La sécurité n’est pas une question abstraite : elle touche la liberté de marcher le soir dans nos rues, la sérénité des familles, et l’image même de Paris. Si la capitale n’est plus sûre, c’est toute la France qui bascule.
En un mot : protéger les fragiles, sanctionner les voyous, reprendre le contrôle.