Quand les agriculteurs disparaissent, c’est la cantine de nos enfants dans le 5e qui trinque
On croit souvent que la crise agricole ne touche que la France rurale. Mais quand nos agriculteurs disparaissent, c’est la qualité de l’assiette de nos enfants dans le 5e, le 6e et le 7e qui est directement menacée.
La vérité derrière nos assiettes
Aujourd’hui, la France importe une partie de ce qu’elle sait déjà produire. Résultat : moins de circuits courts, plus de dépendance, et une qualité en baisse jusque dans nos cantines scolaires. Ce qui est servi à Paris dépend trop de l’étranger.
Ce que ça veut dire pour nous, ici
Dans nos écoles du Quartier Latin, les parents veulent une alimentation saine, locale et traçable. Mais si on continue à laisser mourir nos agriculteurs, ce seront les enfants de Paris qui mangeront du low-cost importé. Et les familles du 6e et du 7e verront leurs impôts financer une agriculture étrangère plutôt que soutenir nos producteurs français.
Ce qu’on propose pour changer les choses
- 90 % d’autosuffisance alimentaire en 2030.
- Cantines 100 % françaises, pour que chaque repas soutienne nos producteurs.
- Guichet unique digital pour simplifier la vie des agriculteurs et des marins.
- Fonds de 10 milliards pour une sortie progressive des pesticides en 5 ans, afin de concilier santé et productivité.
Pourquoi ça nous concerne directement
Parce qu’un pays qui ne produit pas sa nourriture n’est plus souverain. Et parce qu’un quartier comme le 5e ne peut pas accepter que ses enfants mangent des aliments importés alors que la France a tout pour produire mieux et plus près.
En un mot : produire français, protéger nos agriculteurs, nourrir nos enfants.