Pourquoi un étudiant du 7e rêve de créer sa start-up mais fuit à l’étranger pour le faire
Dans le 7e, entre Sciences Po et l’Assemblée nationale, beaucoup d’étudiants veulent entreprendre. Créer une start-up, lancer un projet, embaucher. Mais une fois confrontés à la réalité, beaucoup partent. Londres, Berlin, Lisbonne… autant de villes qui attirent les talents français.
Pourquoi ? Parce que la France est le pays le plus taxé du monde, avec un système fiscal illisible et une bureaucratie étouffante.
Le paradoxe français
- On forme parmi les meilleurs talents d’Europe, mais on les laisse partir.
- Le travail productif est surtaxé, la rente est protégée.
- Les investisseurs étrangers hésitent face à l’instabilité fiscale.
- Les jeunes créateurs finissent par exporter leurs projets et leurs emplois.
Ce qu’on propose pour changer les choses
- Heures sup défiscalisées et sans charges, liberté de travailler jusqu’à 50h/semaine.
- Un impôt clair et stable : barème simple sur une page, garanti 20 ans.
- Suppression de l’IFI et exonération des successions jusqu’à 5 M€, pour libérer l’investissement productif.
- Flat tax pérennisée à 20 %, lisible et compétitive.
- Fonds souverain français : investir dans l’IA, la deeptech, les start-up stratégiques pour l’avenir.
Pourquoi ça nous concerne directement
Parce que chaque étudiant qui part, ce sont des emplois, de la richesse et de l’innovation qui quittent le pays.
Parce qu’un jeune du 7e ne devrait pas avoir à s’exiler pour entreprendre. La France doit redevenir le meilleur endroit pour transformer une idée en entreprise.
En un mot : baisser les impôts, libérer les énergies, et investir dans l’avenir.