Pourquoi un étudiant du 5e attend 40 minutes le RER pendant que le Japon fait passer un train toutes les 3 minutes
Tous les jours, des étudiants du 5e descendent à Luxembourg, Port-Royal ou Saint-Michel pour prendre le RER B. Ils attendent. Parfois 30, 40 minutes. Des trains bondés, des retards, une impression de pays à la traîne.
Pendant ce temps, à Tokyo, des trains passent toutes les trois minutes avec une régularité millimétrée. Au Japon, le retard moyen d’un Shinkansen se compte en secondes. Chez nous, il se compte en heures.
Ce que ça dit de la France
Nos infrastructures vieillissent. Routes, rails, ponts : tout accuse le temps. Les projets publics mettent des années à sortir. Et dans le numérique, des zones blanches subsistent encore en 2025. Résultat : une mobilité inégale, une France ralentie, une Nation fracturée.
Ce qu’on propose pour changer les choses
- Permis de construire en 60 jours, silence = accord, IA pour valider la conformité.
- Plan “1 heure max” : aucun Français à plus d’une heure d’un hôpital, d’un lycée, d’une gare ou d’un tribunal.
- Relance du fret ferroviaire pour désengorger les routes.
- Internet partout : fibre et 5G pour 100 % des communes d’ici 2030, satellites pour les zones isolées.
- Réhabilitation express des friches industrielles et agricoles pour redonner vie aux territoires.
Pourquoi ça nous concerne directement
Parce qu’un étudiant du 5e qui perd une heure par jour dans les transports, c’est un pays qui perd en productivité, en compétitivité, en énergie.
Parce que des infrastructures modernes ne sont pas un luxe : elles sont la colonne vertébrale d’une Nation qui avance.
En un mot : une France accessible, connectée et productive, où chaque citoyen peut habiter, se déplacer, produire et vivre sans subir ni les distances ni la paperasse.