Pourquoi un entrepreneur du 6e fait encore la queue à la préfecture pendant qu’on parle d’IA partout
Dans le 6e, un jeune entrepreneur s’est levé à l’aube pour déposer un dossier à la préfecture. Des heures de queue, des formulaires doublons, une administration lente.
Et pourtant, dans les discours officiels, on parle d’intelligence artificielle, de révolution numérique, de start-up nation. Ce contraste est insupportable : la France a des cerveaux brillants, mais une bureaucratie d’un autre âge.
Le paradoxe français
- Un État qui promet l’innovation mais ne simplifie pas la base.
- Des dizaines de sites différents, des formulaires en doublon.
- Des délais interminables pour des démarches simples.
- Une démocratie illisible, où même les élus échappent aux règles qu’ils imposent.
Ce qu’on propose pour changer les choses
- Portail unique gouv.fr : un identifiant, toutes les démarches.
- Règle “une fois pour toutes” : l’État ne redemande jamais un document qu’il a déjà.
- Documents instantanés : permis, cartes, actes délivrés immédiatement via France Identité.
- IA publique pour chaque citoyen : un agent numérique 24/7 qui explique, pré-remplit, relance.
- Tolérance zéro pour l’absentéisme des élus, transparence totale des votes et des présences.
Pourquoi ça nous concerne directement
Parce qu’un entrepreneur du 6e, un commerçant du 5e, une famille du 7e perdent tous un temps fou à cause d’une bureaucratie archaïque.
Parce que simplifier l’État, ce n’est pas du confort : c’est libérer l’énergie du pays pour produire, créer et vivre mieux.
En un mot : une République lisible, moderne et exigeante, où l’administration sert enfin le citoyen.