Pourquoi un collégien du 5e boit son premier soda à 10 ans pendant que le diabète explose en France
À l’école primaire du 5e, un collégien boit son premier soda à 10 ans. Rien d’exceptionnel, dira-t-on. Mais multiplié par des millions d’enfants, ce geste anodin alimente un fléau : l’obésité infantile et le diabète progressent en France plus vite que jamais.
Pendant ce temps, les multinationales du sucre et de la malbouffe continuent d’inonder nos supermarchés et nos écrans de publicités agressives.
Le paradoxe français
- Nous dépensons des milliards pour soigner, mais presque rien pour prévenir.
- La sédentarité progresse, les jeunes bougent moins.
- Tabac, alcool, malbouffe restent des piliers culturels alors qu’ils détruisent la santé publique.
- Résultat : espérance de vie en bonne santé qui recule, explosion des coûts de soins, familles touchées de plein fouet.
Ce qu’on propose pour changer les choses
- Prévention massive dès l’école : éducation alimentaire et sportive obligatoire.
- Check-up annuel obligatoire pour chaque Français, incluant poids, tension, dépistages précoces.
- Taxation des sodas et de la malbouffe, pour décourager la consommation de masse.
- Campagnes culturelles premium pour ringardiser la cigarette, l’alcool excessif et les écrans passifs.
- Investir dans le sport scolaire : chaque après-midi consacrée au sport, à la créativité, aux projets.
Pourquoi ça nous concerne directement
Parce qu’un collégien du 5e qui boit un soda aujourd’hui peut devenir un adulte diabétique demain. Parce qu’une société qui ne prévient pas, paie toujours plus tard.
Et parce que chaque année de vie en bonne santé gagnée est un triomphe collectif.
En un mot : prévenir plutôt que guérir, pour ajouter 10 ans de vie en bonne santé aux Français d’ici 2040.