Pourquoi nos enfants ne peuvent plus se loger dans le 6e
La France construit trop peu, trop lentement. Les loyers grimpent, les files d’attente pour un logement social s’allongent, les jeunes sont chassés des grandes villes. Résultat : des familles entières quittent leur quartier d’origine, incapables de suivre le coût du logement.
Ce que ça provoque ici, dans le 6e
- Les étudiants de l’ENS ou de la Sorbonne ne trouvent pas de chambre abordable.
- Les jeunes actifs renoncent à s’installer dans leur quartier d’origine.
- Les familles doivent quitter Paris pour la petite ou grande couronne.
- Des propriétaires découragés retirent leurs biens du marché locatif.
La crise du logement n’est pas une statistique : elle change le visage de nos quartiers.
Pourquoi ça bloque
- L’encadrement des loyers fige le marché au lieu de l’ouvrir.
- Les permis de construire prennent 9 mois, parfois plus.
- L’offre de logements accessibles stagne.
- Le système des aides est complexe et injuste.
Ce qu’on propose pour changer les choses
- Fin de l’encadrement des loyers, qui bloque artificiellement le marché.
- Plateforme nationale des loyers en temps réel, pour plus de transparence.
- Permis de construire accélérés : 9 mois aujourd’hui → 4 mois demain, grâce à un guichet numérique unique et à l’IA.
- Chèque-logement universel : chaque famille choisit librement où habiter, public ou privé, avec une aide portable et sécurisée.
Pourquoi ça nous concerne directement
Parce que dans le 6e, comme dans tout Paris, la vitalité de nos quartiers dépend des jeunes, des familles, des étudiants. Si seuls les plus riches peuvent rester, le cœur de la ville se vide.
En un mot : plus d’offre, plus de liberté, plus de justice.