L’école s’effondre. Et si le Quartier Latin retrouvait son rôle de phare du savoir ?
L’école française a perdu sa mission première : instruire. La France est passée du top 10 mondial en maths à la 26ᵉ place. Pire : un élève sur cinq sort du système sans maîtriser la lecture. Résultat : l’ascenseur social est en panne, et le pays se condamne à l’inégalité.
Le Quartier Latin, un symbole en déclin
Le 5e arrondissement abrite la Sorbonne, Henri-IV, Louis-le-Grand. Des noms qui ont fait rêver des générations. Mais pendant que le Quartier Latin garde son prestige historique, l’école française s’effondre dans son ensemble. Nos enfants, ici comme ailleurs, ne reçoivent plus l’exigence et la transmission qu’ils méritent.
Pourquoi ça nous concerne tous
- Moins de fondamentaux : lecture, écriture, calcul sacrifiés au profit de programmes idéologiques.
- Discipline en recul, enseignants découragés.
- Inégalités record : l’école ne joue plus son rôle d’ascenseur social.
- Résultat : un pays qui décroche.
Ce qu’on propose pour changer les choses
- Retour aux fondamentaux : lecture, écriture, calcul, sciences, histoire comme priorité absolue.
- Horaires refondus : matinées pour l’instruction, après-midi pour le sport, la créativité, les projets.
- Uniforme obligatoire au collège et au lycée pour restaurer discipline et égalité sociale.
- 200 “lycées d’excellence républicaine” partout en France.
- Cours d’éloquence obligatoires pour 100 % des jeunes, dès le collège.
- Parents responsabilisés : allocations familiales conditionnées à la présence et au comportement des enfants.
Pourquoi ça nous concerne directement
Parce qu’un pays qui n’instruit plus ses enfants renonce à son avenir. Et parce qu’un Quartier Latin réduit à une carte postale n’est pas à la hauteur de son histoire : il doit redevenir un moteur national du savoir.
En un mot : une école qui enseigne avec exigence, protège par la discipline et élève chaque enfant à son meilleur niveau.