Le nucléaire, c’est aussi une histoire de loyers à Paris
On parle souvent du nucléaire comme d’un sujet lointain, réservé aux ingénieurs et aux ministres. En réalité, il concerne directement notre quotidien à Paris. Quand l’énergie devient chère, ce sont nos factures, nos loyers et notre pouvoir d’achat qui s’envolent.
Pourquoi ça touche nos quartiers
Dans le 5e, les étudiants payent des chambres minuscules où l’électricité est parfois plus chère que l’eau. Dans le 6e, des familles voient leur budget logement grevé par les charges énergétiques. Dans le 7e, les copropriétés historiques sont confrontées à des rénovations thermiques hors de prix. L’énergie, c’est la base de tout : si elle est instable, tout le reste vacille.
Une dépendance qui nous fragilise
- Nos énergies renouvelables sont en retard.
- Notre neutralité carbone avance trop lentement.
- Nous restons dépendants d’importations instables.
- Résultat : inflation, insécurité énergétique, perte de compétitivité.
Ce qu’on propose pour changer les choses
- Relancer 6 nouveaux réacteurs nucléaires EPR2 d’ici 2035, plus des petits réacteurs modulaires (SMR).
- Tripler le solaire et l’éolien, pour diversifier nos sources d’énergie.
- Rénover 500 000 logements/an, pour réduire les factures à la source.
- Passer de 1 % à 30 % d’eaux usées réutilisées d’ici 2035, modèle israélien.
- Fonds carbone pour verdir l’industrie : batteries, hydrogène, géothermie.
Pourquoi ça nous concerne directement
Parce qu’une énergie stable et souveraine, c’est moins de charges, moins de pression sur les loyers, et plus de pouvoir d’achat pour les habitants du 5e, 6e et 7e. L’écologie ne doit pas être une contrainte mais une opportunité.
En un mot : faire de la France la première puissance écologique souveraine d’Europe.