Justice : pourquoi un délinquant jugé 2 ans plus tard, c’est aussi votre problème dans le 7e
Aujourd’hui en France, la justice est trop lente et trop inégale. Un simple délit peut mettre plus de deux ans à être jugé. Résultat : un sentiment d’impunité, des victimes découragées, et des récidivistes qui continuent sans crainte.
Ce que ça signifie concrètement
Dans le 7e, des commerçants agressés attendent parfois des mois avant qu’un procès ait lieu. Dans le 6e, les habitants constatent que les délits du quotidien ne sont pas sanctionnés rapidement. Dans le 5e, les étudiants voient les affaires de violences ou de vols traîner. Tout le monde le sent : la justice ne suit plus le rythme.
Pourquoi la lenteur est un danger
- Un délinquant non jugé peut récidiver sans frein.
- Les victimes perdent confiance dans l’État.
- Les forces de l’ordre se découragent quand leurs efforts restent sans suite.
- La République perd son autorité.
Ce qu’on propose pour changer les choses
- Jugement des délits mineurs en 15 jours, 100 % des délits traités en moins de 30 jours d’ici 2030.
- IA pour accélérer les procédures, en gardant l’humain au cœur des décisions.
- Chaque peine exécutée, sans exception : prisons modernisées, bracelets et TIG suivis.
- Maisons spécialisées pour mineurs : encadrement militaire et scolaire pour casser l’impunité.
- Justice réparatrice : “Tu as détruit ? Tu reconstruis.” → TIG visibles et utiles.
Pourquoi ça nous concerne directement
Parce qu’une justice lente, c’est une République qui recule dans nos quartiers. Et parce qu’à Paris comme ailleurs, chaque victime mérite que sa plainte soit entendue et suivie rapidement.
En un mot : une justice lisible, rapide et ferme, où chaque délit compte et chaque peine est appliquée.