Écrans, harcèlement : comment protéger nos enfants dans le 5e ?
La famille est le premier lieu de solidarité et de transmission. Mais elle est fragilisée. La natalité recule, les familles monoparentales augmentent, et les écrans envahissent la vie de nos enfants. Résultat : perte de repères communs, société éclatée, et des parents souvent seuls face à un problème immense.
Un constat qui touche aussi Paris
Dans le 5e, les écoles et collèges font face à des cas de harcèlement scolaire toujours plus nombreux. Dans le 6e, des familles entières luttent pour limiter l’emprise des écrans à la maison. Dans le 7e, des parents demandent plus de soutien pour élever leurs enfants dans un monde saturé d’images et de distractions. Ce n’est pas un problème “ailleurs” : c’est une réalité vécue ici, dans nos quartiers.
Ce que ça provoque
- Des enfants surexposés aux écrans, parfois dès la maternelle.
- Un harcèlement scolaire qui explose, notamment en ligne.
- Des aidants familiaux (parents, grands-parents) non reconnus ni soutenus.
- Une société où l’État se substitue à la famille au lieu de la renforcer.
Ce qu’on propose pour changer les choses
- Tolérance zéro contre le harcèlement scolaire : sanctions rapides, campagnes nationales pour ringardiser les harceleurs.
- Discipline numérique : réduire le temps d’écran et en faire un signe de prestige, avec sportifs et artistes comme modèles.
- Reconnaissance des aidants familiaux : un statut officiel, une rémunération digne, et un droit au répit.
- Transmission intergénérationnelle : valoriser les grands-parents, renforcer les rites de passage et la mémoire familiale.
Pourquoi ça nous concerne directement
Parce que protéger nos enfants, c’est protéger l’avenir de notre société. Et parce que dans le 5e, le 6e et le 7e, les parents savent que l’école et la famille doivent marcher main dans la main pour élever les générations futures.
En un mot : protéger les enfants, soutenir les parents, renforcer les solidarités.